Avant de lire Moscou au début du XXème siècle demain, je vous invite à rencontrer aujourd'hui deux photographes russes découvertes lors de l'exposition parisienne Photoquai, leur émotion, leur conviction.
Evgenia Abgaeva, à travers la série Tiksi, nous présente sa vision de la République de Sakha, région polaire, terre de son enfance.
.

.
Anastasia Rudenko, à travers la série Paradise, confronte les notions de normalité et de protection de la société russe contemporaine à des scènes de vie de personnes handicapées mentales.
.

*
Commentaires
1 Martine Le 17/01/2014
2 Aifelle Le 17/01/2014
3 Anne Le 17/01/2014
4 Valérie Le 17/01/2014
5 Marilyne Le 17/01/2014
@ Aifelle : oui, les deux aussi, pas pour les mêmes raisons. Je ne sais pas si tu as eu la curiosité d'aller sur le site de A.Rudenko, son " dictionnaire en images " livre un véritable témoignage de la population russe contemporaine. Impressionnant. ( il y a d'autres photographes que j'aimerai présenter aussi, nous ne pouvons pas tout faire, inutile de forcer, l'envie reviendra sûrement, peut-être avec une autre rencontre )
@ Anne : documentaire et esthétique. Sur les régions du Grand Nord, j'avais adoré le travail d'une photographe finlandaise ( découverte à Photoquai aussi ) : Tiina Itkonen ( le billet est l'un des disparus suite au piratage, il faudrait que je le re-publie, ICB a réussi à récupérer le texte de présentation )
@ Valérie : Oui, les deux démarches sont très intéressantes ( et cette manifestation Photoquai est vraiment géniale )
6 Kathel Le 17/01/2014
7 Marilyne Le 17/01/2014
Sa série " following the reindeer " est de toute beauté.
8 Kathel Le 18/01/2014
9 Marilyne Le 18/01/2014
10 Choco Le 26/01/2014